Vidéo, L’Attrait, 2015, film HD couleur, 1’29’’ (3ex + 2EP)
Cette vidéo plonge le regardeur dans une dimension presque invisible, une tentative d’abandon.
“…l’oeuvre de Christine Barbe a-t-elle tout à voir avec la fluidité, la flottaison, l’immersion, qui forment autant de facettes à une pensée des eaux, un “psychisme hydratant” pour reprendre une expression de Gaston Bachelard… ».
Elora Weill-Engerer historienne de l’art, Critique d’art (AICA) et commissaire d’exposition
Video, L’Attrait, 2015, color HD film, 1’29’’ (3ex + 2EP)
This video takes the assistance in an almost invisible dimension, a tentative of abandonment. « ..
Christine Barbe’s work has everything to do with fluidity, buoyancy, immersion, which form so many facets of a way of thinking about water, a « hydrant psyche » to use an expression by Gaston Bachelard.
Elora Weill-Engerer historienne de l’art, Critique d’art (AICA) et commissaire d’exposition
Dessin. « Feu sacré ». Encre et techniques mixtes sur papier Arche.
Drawing. « Feu sacré ». Ink and mixed media on Arche paper.
Vidéo, Le corps du dépassement, 2’06’’, écran enchâssé dans un caisson noir, 27,5 x 32,5 cm.
Dans cette vidéo Christine Barbe filme un corps réduit à la taille d’une petite silhouette en contre-jour qui simule une sorte de transe saccadée. Ce corps, comme enfermé de part sa condition, est galvanisé.
Avec ce cinéma primitif, proche du cinéma d’animation, l’artiste redonne la parole au corps et s’approprie le langage et les expression d’un corps en mouvement qui cherche a se libérer de ses limites.
Ce film intronise aussi une certaine notion d’engagement personnel et physique au travers d’un corps « porte-parole » qui est le corps même de l’artiste. Il se joue alors a travers cette vidéo une partition qui met en musique et en scène, l’intériorité d’un « je » via un « jeu » plus impliquant.
Video, The surpassing body, 2’06’’, screen set in a black box, 27.5 x 32.5 cm.
In this video Christine Barbes has filmed a body that is no more than a tiny back-lit silhouette simulating a sort of fitful trance. The body, seemingly trapped inside its own condition, is galvanised.
This primitive form of cinema, close to animation, enables the artist to let the body speak out by appropriating the body’s language and expressive movements as it attempts to free itself from its limitations.
The film celebrates a form of personal and physical commitment using the body as “spokesperson”; a body which is no other than the artists own. Hence the video is a composition in which the musical score is conducted and the performance directed by an interaction between inner self and physical involvement.